On a tous rêvé de voyager partout ou d'aller en vacances dans un superbe endroit où la mer et les canons sont au rendez-vous. Mais, comment partir quand l'argent manque ? Vous, les jeunes, vous avez pleins de solution pour résoudre ce problème. Cambrioler une banque ou des supermarché, vendre toutes sortes de produits interdit par la loi, etc. Quelle imagination débordante mais, vous avez pensé aux conséquences ? Bien sûr que non, vous êtes encore trop naïfs pour vous occuper de cela. Mais, vous avez de la chance, quel que soit votre plan pour partir en vacances, vous y êtes arrivé et vous n'avez pas choisi n'importe quel pays et ville. Vous avez choisi la Floride et, plus précisément, Sarasota. Cette ville est très connue pour ses célébrités folles et sa plage bombé de monde ! Cela vous plait ? Alors, amusez-vous bien mais, ne croyez pas que vos petites bêtises ne vont pas recommencer justement, elles ne font que commencer.

Mes chers petits Floridiens, vous n'allez tout de même pas croire que vous seriez tranquille dans cette ville si peupler. Et oui, Gossip est là pour raconter toutes vos petites histoires dans son merveilleux blog conçu sur vous, pour vous. Il est toujours agréable de savoir la vérité quand on essaie de la cacher et, j'avoue que j'adore faire parler de vous. Sexe, alcool, drogue, abus, etc rien n'échappe à Gossip. xoxo

Nous attendons tous quelque chose de la vie. Que se soit trouver l'amour. Fonder une famille. Avoir une brillante carrière. Réaliser ses rêve. Se créer un chemin, une voie dans la dure vie d'aujourd'hui. Et pourtant quand on est chanceux, tout se dont on à rêvé se dévoile devant nous. Mais à la fin, personne ne se soucis que tu conduis une voiture de luxe, que tu portes des vêtements de marque ou que tu gagnes plus d'argent qu'eux. Ce n'est pas parce que l'argent coule à flot, que tu as le boulot de tes rêves ou même le parfait petit ami que tu es heureux pour autant. Les choix que l'on fait, dessinent le reste de notre vie. Pourtant la dernière chose qu'on veut c'est regarder en arrière et se demander si seulement ... Mais il faut se l'avouer, se le dire c'est bien, le faire c'est mieux.

On change de ville. On se refait une beauté. On part en vacances. On se croit à l'abri, mais peu importe où nous sommes, les problèmes nous suivent. Après tout, le bonheur ne s'achète pas. Alors quant a rester seule et risquer le tout pour le tout, parfois, on préfère de loin rester dans notre zone de confort et cela au prix de notre propre bonheur. TORONTO, charmante ville située à Ontario au Canada, ne déroge pas à la règle.

Cette rue. Toujours cette putain de rue. Je ne sais même plus combien de fois je l’ai empruntée. Des dizaines, peut-être bien des centaines. Je m’étais promis de ne plus jamais me tordre la cheville en talons sur ces trottoirs, promis de ne plus jamais avoir à emprunter le tournant sombre après la maison des Spencer. J’ai vomis sur leur perron après le bal de promo. Je sortais avec leur fils à l’époque, nous étions les rois du campus. Les rois du monde. Et le monde, il se résumait à Caswell. Du phare aux falaises, des vieilles baraques austères au centre-ville. Oui, je m’étais promis de ne plus jamais foutre les pieds dans cet endroit de malheur. J’ai toujours voulu partir. Comme si quelque chose en moi rejetais la simple idée d’y finir mes jours. Ici tout le monde connait tout le monde, comme si la ville avait sa conscience propre. Peut-être est-ce l’isolement, peut-être est-ce autre-chose. Ici le microcosme vous enlise au nom du collectif et du paraitre. J’en ai fait des fêtes de voisins cachée sous une table pour mieux entendre les ragots. J’ai ravalé mon dégout de ces visages faussement pieux le dimanche matin. A Caswell on y rentre comme on en sort, par les grandes routes isolées. Et on espère bien ne jamais se retourner. Et pourtant me voilà de nouveau plantée devant la maison où j’ai grandis. Elle n’a pas changé. Oh la façade à un peu subit le temps et le lierre en a profité pour s’étendre. Il y a toujours des cordes de balançoire qui pendent misérablement d’une branche basse. Mon père s’était donné un mal fou pour l’y accrocher. Je vois les fantômes du passé surgir, des objets absents que je pourrais presque toucher. Caswell est restée la même et pourtant elle est comme ces liens usés qui s’agitent au vent. De son orgueilleuse richesse passée il ne reste plus rien. Plus rien que des bâtiments abandonnés, des tessons de bouteille sur la chaussée. Il est bien loin le temps de l’insouciance. Bien loin le temps prospère où le coin attirait les promoteurs et les regards. Mes voisins eux, sont toujours là. Alicia n’a pas eus la chance de pouvoir partir. De ce que j’en sais elle travaille comme serveuse dans un bar sur les docks. Elle ne m’a même pas fait de signe de la main. Pas même au nom de notre ancienne amitié. Elle qui souriait à s’en décrocher la mâchoire. Cet endroit a changé, mais plus encore, il vous change. Une sensation dans les tripes, l’impression de ne pas être à ma place au bercail. Peut-être que pour eux je suis maintenant l’égale de ces étrangers qui affluent à la saison touristique. Et pourtant l’hypocrisie fait rage alors que la nouvelle de mon retour à fait le tour de toutes les oreilles. Ces enfoirés du conseil de la ville ont décidés dès mon arrivée d’organiser un vin d’honneur en souvenir de leur ancienne championne junior de volley. C’est comme si les années où j’ai construit ma vie ailleurs n’existaient pas. Comme si des frontières invisibles stoppaient le temps de ce petit patelin du Maine. Je m’étais promis de ne jamais revenir. Mais quand on nait à Caswell, qu’on le veuille ou non, on y retourne toujours.

Casser la croute à 4h00 du matin, comater comme une larve devant la télévision, ragoter pendant des heures, tomber follement amoureux, rire à s’en déboîter la mâchoire, pleurer à s’en faire fondre les yeux, gueuler comme une vache espagnole, piquer du nez dans le bus, faire des remake d’Alerte à Malibu sur la plage, baver sur des cookies maison fraîchement sortis du four, faire grincer les lattes du lit jusqu’au petit matin, enquiquiner inlassablement les voisins en faisant peur à leurs mômes, […]
Tout ça, tu connais. C’est ton quotidien à Coffs Harbour.
Père de famille, mère au foyer, ado boutonneux, bambin démoniaque, rasta octogénaire, ou même toi, gentil mignon étranger tout droit débarqué du fin fond de l’Irlande du nord, vous vous connaissez tous de près ou de loin. […] Tes voisins ? Ils n’ont même pas attendu dix minutes pour venir sonner à ta porte, corbeille de confitures dans les bras. Tes nouveaux collèges ? Ils te délivrent les derniers potins en date sans même ton avoir consentement. La belle blonde qui te fait de l’œil depuis ton arrivée ? C’est la sœur du cousin de l’oncle de ton nouveau facteur qui est lui-même le beau frère de la fille du frère de ton plombier. […]
Bref, tu l’auras compris, tout le monde se côtoie plus ou moins ici. D’ailleurs, j’sais pas si t’as remarqué, mais tu verras toujours des bandes de lycéens traîner dans les rues en se marrant comme des débiles ; des femmes au foyer médisant sur la nouvelle compagne de l’électricien en traînant tranquillement la poussette de leur progéniture, des papis se faisant une bonne petite partie de pétanque ou encore des garnements jouant au ballon au beau milieu de la route. M’enfin, que veux-tu, c’est le charme de cette bonne vieille bourgade qui fait ça.

Alors que, tout le monde nous voie comme des étoiles audacieuses qui croquent la vie a pleine dents dans les fêtes les plus prisés du monde entier . On est fuyant, baissant les yeux à chaque obstacles de la vie , regrettant parfois l'ordinaire et ses moralités avec lesquels nous avons grandit . Comme tout adolescent, on recherche l’amour, les premiers émois , le sexe facile avec une ou un inconnu rencontré dans un café glauque ou la fumée remplit en masse la pièce d’un nuage vaporeux. Ou bien a flirté de façon suggestive dans une des boites les plus branché du coin, ou l’alcool coule à flot et la nicotine , roulé puis brulé en épousant le briquet de votre comparse . On est à Londres, capitale de la belle Angleterre lumineuse et sale d’une luxure au plaisir éphémère. Parfois j’aimerais fermer les yeux,m’endormir dans un lit de soie et ne plus rien pensée d'autre qu'un lendemain parfait, sans bavure et défis. Mais le danger est là , à chaque coins de rues et tournent de la vie …On a beau être star, la folie des hommes peuvent nous mettre à genoux, jusqu’à nous rendre plus mort que vivant en nous plongeant dans certaines addictions.

De l’alcool dans le sang, une cigarette entre les lèvres, j'essaye de vivre comme les autres, en m’enivrant de ce rêve qui tourne très vite au cauchemars quand les paparazzis nous traquent des nos sortis d’hôtel pour un cliché compromettant. On est à l'image parfait sur les photoshoots , maquillé a souhait pour effacé la fatigue et le stresse. Mais qui se cache vraiment derrière ses sourires si beaux ? Des personnes aux passés lourds, qui doivent mettre entre parenthèse leurs vies amoureuses pour ne pas souffrir de l'absence de l'autre et surtout des rumeurs qui assiègent nos relations. Des gens qui rêvent de gloires et de reconnaissances ,sans non plus vouloir faire la couv' de la presse a scandale. Des individus qui offrent leurs amour gratuitement sur scène ou devant la caméra pour leurs fans , a qui ils doivent tous. Mais surtout des cœurs fragiles qui recherchent désespérément le vrai bonheur à celui d’être célèbre. On est a Londres capital de la royauté et des excès, seriez-vous éviter les tentations de la débauche, dans cette ville de luxe ou tout semble virer au rouge?

Bonjour chers lecteurs, aujourd'hui je me trouve en direct de Raleigh où nous allons rencontrer ces personnes qui, comme vous et moi, vivent leur vie paisiblement. Certaines sont encore des étudiants dans la très belle université de Duke, d'autres sont déjà entrés dans la vie active. Une chose est sûre, chacune d'entre elles ont un but dans la vie que ce soit l'argent, l'amour, la famille, mais par quoi sont-elles passées pour en arriver là à présent. D'ailleurs, entrons tout de suite dans le vif du sujet et laissons-les nous emmener au cœur de leurs vies ! Reportage en direct de Noah Walston pour le Raleigh Times !

V“ Welcome to fabulous Las Vegas my friends ! ” Ah, Las Vegas ... ! Ça fait rêver, pas vrai ? Eh oui, la plus grande ville de l’état du Nevada, surnommée “ The Entertainment Capital of the World ”, ou bien “ Sin City ” bien parce qu'elle est la ville des pêchés. 339,8km² de terre au milieu du désert de Mojave, des hôtels et CASINOS par centaines, environ 600 000 habitants pour faire de ce lieu un petit paradis sur terre. Quoi de mieux pour faire la fête ? Beaucoup se réveillent le lendemain d'une soirée sans se souvenir de ce qu'ils auraient bien pu faire la veille. La capitale du comté de Clark est de loin l'endroit idéal pour réaliser l'impossible. Pour beaucoup de joueurs de poker, Las Vegas représente la Mecque du Poker. Pour les autres, Las Vegas est la capitale du jeu, de l'argent facile, des fortunes perdues et des fêtes ... Pour les groupes religieux, Las Vegas est la capitale du vice, de la prostitution, de la drogue et de l'interdit. Mais pour la plupart, Las Vegas est l’endroit rêvé pour faire des folies en tous genres et pousser ses limites toujours plus loin, toujours plus haut. Et vous, seriez-vous prêts à repousser vos limites encore et encore ?

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants déjà bien installés adorent accueillir les nouveaux, vous vous sentirez donc immédiatement comme chez vous. Vous n'aurez aucun soucis à vous faire, à Bowen vous ne vous ennuierez jamais ! Régulièrement des évènements sont organisés dans la ville pour rassembler les habitants, pour les divertir et pour les changer du train-train quotidien. Alors qu'est-ce que vous attendez ? Venez poser vos valises à Bowen, on peut vous l'assurer, vous allez adorer.

« Bienvenue à Rapture ▬
Mon nom est Andrew Ryan. Permettez-moi de vous poser une simple question : ce qu'un homme obtient par le travail à la sueur de son front... Cela ne lui revient-il pas de droit ? Non, répond l'homme de Wahsington. Cela appartient aux pauvres. Non, répond l'homme du Vatican. Cela appartient à Dieu. Non, dit à son tour l'homme de Moscou. Cela appartient au peuple. Pour ma part, j'ai choisis d'ignorer ces réponses. J'ai choisi une voie différente. J'ai choisi l'impossible. J'ai choisi Rapture !
Une cité où les artistes ne craindraient pas les foudres des censeurs. Où les scientifiques ne seraient pas inhibés par une éthique aussi artificielle que vaine. Où les grands ne seraient plus humiliés par les petits. Et, à la sueur de votre front, cette cité peut aussi devenir la vôtre. »

Chaque jour, chaque heure, chaque minute, on sauve des vies. Peut être est ce la votre, celle de votre voisin, ou encore celle d’un pur inconnu. On se demande parfois, pourquoi est on sur terre, pourquoi est-on en vie. Souvent, nous n’avons aucune réponse sur laquelle méditer. Mais eux, si. Ils ont dédié leur vie entière à sauver nos fesses. Ici comme ailleurs, dans cette vile, on les voit comme des héros, mais qui sont ils vraiment ? Sont-ils surhumains ? Sont-ils extraordinaires ? Ou sont-ils exactement comme nous, avec une vie hors du commun ?

« J'ai toujours vécu à Panem, et j'ai toujours détesté le Capitole. Ils sont riches, nous sommes pauvres. Chaque année vingt-quatre tributs sont tirés au sort parmi les districts pour se battre jusqu'à la mort. Plutôt simple, non ? Et bien, les choses sont plus compliquées que ce que j’ai pu penser. Lors du trajet en train vers le Capitole, Kamon m’a avouée qu’une guerre entre plusieurs Districts et le Capitole était en train de se préparer. Un certain nombre furent mis au courant, des gens de confiance, des familles se partageant cette information de génération en génération. Des galeries souterraines ont été creusées pendant plusieurs décennies. Il ne resterait plus que trois districts à faire communiquer entre eux pour que chacun puisse se rendre là où il le souhaite, ce ne serait plus qu'une question de jours. Je suis impressionnée, sonnée d’une telle révélation. S’ils réussissent, les Hunger Games ne seront plus. Il est trop tard pour moi, mais dans un futur, la vie sera plus paisible. Je commence à regretter de ne pas avoir eu la possibilité de gouter à ce monde. Y aura-t-il vraiment un autre Panem ? »

Ce matin, tu as ouvert les yeux. Ton réveil affichait, comme tous les matins, huit heures trente et, comme tous les matins, tu as soupiré. Péniblement, tu as soulevé cette couette qui te réchauffait et affronter la fraîcheur matinale en poussant un énorme soupire. Le soleil ne t'accompagna pas jusqu'à ta salle de bain, tu as dû allumer les lumières, vives, agressant tes yeux trop habitués à la pénombre. Difficilement, tu t'es déshabillé et tu as filé sous la douche. Prenant le temps de réveiller chacune des parties de ton corps, tu as ressenti les courbatures... signes distinctifs de trop d'activité. Quelques minutes plus tard, tu t'emmitoufles dans une serviette et te dirige vers l'évier, au-dessus duquel tu as accroché une glace, un miroir. C'est à cet instant là que la vérité t'as frappé, violente et amère déception...

Te voilà au Royaume-Uni darling, mais plus précisément dans la grande capitale, à Londres. Londres c'est le Tower Bridge, le Canary Wharf, la Cité de Londres, l'Emirates Stadium, le Westfield London, l'Energy London Eye, c'est l'immense Palais de Westminster avec le Big Ben sans oublier la reine d'Angleterre. Cette ville constituée de 7 512 400 d'habitants est très réputé pour les arts et la mode ainsi que l'architecture c'est pourquoi vous êtes ici nombreux à étudier au Royal College of Art. La musique, la danse, la photographie, la mode, le stylisme, le théâtre vous passionnent? Vous êtes à la bonne place. Vous rêvez d'être médecin, avocat, politicien ou encore un sportif prétentieux qui n'a rien entre les deux oreilles? Sachez que le Royal College of Art est pour tout le monde alors que vous soyez stupide ou intello' vous saurez vous faire une place dans cette grande & majestueuse université qui est l'une des université la plus réputée dans ce monde. Aujourd'hui, finit l'époque des années lycée, vous pensez avoir eu vos plus belles années de votre vie au lycée? Détrompez-vous, les années universitaires seront bien plus folle et certains pourront le confirmer. Entre fou rire, pleure et coup de gueule et manipulation, ce n'est que le commencement pour vous rendre compte que la vie des Londoniens est bien mieux avec les moments de débauche alors que certains on connu l'amour comme la guerre, la haine, la trahison et la déception, ce n'était que le début pour vous rendre compte que la vie ne fait que commencer. Il ne faut tout de même pas oublié pourquoi vous êtes là. Faire de grande études, ou pour certains, construire votre vie et votre carrières depuis peu.

Cela dit Londres, c'est bien beau, mais la société dans laquelle vivent les Londoniens n'est pas toujours facile. Des gangs se sont créés très rapidement à cause de la diversité des habitants ce qui a enclenchés des petites guerres entre les étudiants, mais aussi dans la population générale de Londres. Des problèmes de mafia ou encore de simple problèmes de drogues, les rues de Londres ne sont pas toujours si sécuritaire ici, contrairement à ce qu'ont pourraient penser, alors faite gaffes! Cela dit, pour certains ; aujourd'hui c'est fini l'époque de l'université, des fêtes tous les jours, place aux responsabilités, au travail, à la vie de famille, bref en quelques mots à une vie d'adulte. Certains verront leurs carrières décoller d'autres s'envoler en milles morceaux. Alors, es-tu de ceux qui réussira à survivre dans cette ville immense, ou sera-tu considéré tel un chien?

Vampire, vous avez dit vampires ? A Mystic Falls, en 1864, ces créatures se baladent comme bon leur semblent, prenant les pauvres humains comme donneurs de sang sans même leur demander leur avis, mais bien qu’ils pensaient vivre en paix, les vampires ne s’attendaient pas à trouver dans cette ville en apparence tranquille leur pire ennemi, ou ceux qui furent capable de tuer certains d’entre eux, ces créatures se faisait appeler les loups garous et bien entendu, ce nom est toujours d’actualité. Alors, bien que les deux clans évitaient de se voir ou de se retrouver dans le même endroit, certains d’entre eux voulaient exterminer leur adversaire, alors un groupe de loups garous firent des recherches sur les vampires et découvrirent que le seul moyen de les tuer était de tuer l’originel qui était à l’origine de leur transformation. Jusqu’au jour où les familles fondatrices de la ville, voulant protéger Mystic Falls, enfermèrent les vampires dans une église et la brûla, mais une sorcière les protégea et tout ce petit monde se retrouva coincer dans une crypte.

A Mystic Falls, en 2011, alors que les frères Salvatore essayaient de vivre leur vie comme n’importe quel individu de leur âge, en compagnie de leurs amis, ils virent débarquer un certain Nicklaus Mikaelson, qui s’avérait être très vite un vampire, un originel sadique, désirant créer des hybrides grâce au double Petrova, une certaine humaine du nom d’Elena Gilbert. Un an après avoir réussi à contrer le plan de Nicklaus, bien des choses avaient changés, en effet, la famille Mikaelson avait élu domicile à Mystic Falls réunis grâce à Esther, leur mère. Tout aurait été parfait si les cinq chasseurs, entrainé par Mikael, le père des enfants Mikaelson, n’arrivaient pas en ville pour exterminer les vampires et ne s’alliaient pas à certains membres de la confrérie créé par les familles fondateurs qui souhaitent la disparition des vampires, alors la ville n’a jamais été aussi insécurisante pour toutes les créatures de la nuit, et vous que ferez-vous parmi cette chasse aux vampires ?

« Miami, la cité des distractions et du ravissement ! Le soleil, la plage, les boites de nuit… Tout n’est que débauche et plaisir ! Les touristes ne se lassent pas de visiter cette magnifique ville où les soucis s’envolent pour laisser place à la satisfaction. C’est le lieu idéal pour rencontrer des personnes et se faire de nouveaux amis.

Miami a aussi l’avantage de compter une université parmi ses édifices. Miami University ; un campus prestigieux qui a réussi à se faire une place parmi les premières universités. Les étudiants y accourent des quatre coins du monde, connaissant la réputation de Miami University. Il faut dire que les nombreux lauréats ont facilement parvenu à des postes importants. Citons en particulier miss Brooke D. Baker qui est à présent une des stylistes les plus connues à Miami, Haley J. Scott, la célèbre chanteuse et Lucas E. Scott, écrivain très en vue. D’autre part, Miami University est l’endroit idéal pour poursuivre ses études. Elle compte un complex sportif très complet, une bibliothèque prestigieuse et sa proximité de la plage est appréciée par tous les internes. Il est aussi commun d’y rencontrer certaines célébrités qui font tourner toutes les têtes. »

Point Virgule est un forum essentiellement tourné pour les administrateurs de forums. Inspiré des nooooombreux projets qui trottent dans la tête des internautes, qu'ils soient de nature RPG ou Non-RPG, il permet des rencontres et des échanges.

En fait c'est un libre service sur lequel vous pouvez trouver des codes, des avatars, des icons, mais surtout et principalement des codes, ainsi que des tutoriels, toujours sur le codage, que ce soit css ou pour les templates. Sur lequel vous pouvez aussi poser des questions auxquelles je tâcherais un maximum de répondre.